Après l’examen d’entrée en 7ème année, celui du BEPC s’achève, ce samedi 2 juin 2016, sur toute l’étendue du territoire national.
Grâce à la qualité de l’organisation mise en place par le département de l’Enseignement Pré-universitaire et de l’Alphabétisation, sous la direction du ministre, Dr Ibrahima Kourouma, les épreuves se poursuivent dans de meilleures conditions. Pour l’essentiel, l’on peut retenir que :
- Les centres d’examens fonctionnent comme prévu, avec tous les dispositifs exigés (Santé, Sécurité, surveillance).
- La fouille des candidats et l’interdiction des téléphones portables dans les centres sont strictement observées.
- Les candidats composent dans des épreuves effectivement enseignées dans les classes
- La surveillance est stricte au niveau des centres d’examens
- Aucune fuite, ni aucune fraude n’ont été signalées sur l’ensemble du territoire national
A cet effet, le département de l’Enseignement Pré-Universitaire félicite les parents d’élèves pour la prise de conscience et le suivi des enfants, les encadreurs et tous les partenaires de l’école pour la réussite de l’organisation de ces deux examens majeurs qui est une œuvre commune. Et, enfin, les candidats pour le sérieux avec lequel ils observent toutes les consignes.
Toutefois, la Cellule de communication du ministère de l’Enseignement Pré-Universitaire constate, avec regret, qu’à la veille du Baccalauréat unique qui est le plus sensible de tous ces examens, une certaine presse mue par des intérêts que nous ignorons, s’acharne sur notre département et son ministre, Dr Ibrahima Kourouma, préoccupés par le déroulement correct de ces évaluations de fin d’année.
Pendant que, tout récemment, des fuites massives au bac ont suscité une union sacrée autour de la ministre de l’Enseignement pré-universitaire en Algérie et amené même les autorités de ce pays à couper l’internet pour le bon déroulement de cet important examen, en Guinée, ce sont des manœuvres dilatoires qui sont entreprises, certainement, pour distraire les candidats et troubler les examens en cours.
Au cœur de ces manœuvres, un fondateur d’école, escroc de son état, dont les agissements frauduleux ont échoué grâce à la rigueur du ministre Kourouma, s’affole et porte des accusations gratuites, dans le seul but de dissimuler ses desseins maléfiques. Une certaine presse qui n’a d’égard ni pour la déontologie ni pour l’éthique, s’érige en procureur et se saisit de ces accusions non fondées, pour vider la bile sur le ministère de l’Enseignement Pré-Universitaire et son premier responsable.
Dans d’autres pays, le ministre Kourouma et ses collaborateurs auraient été, plutôt félicités pour leur rigueur qui a permis de démasquer cet escroc, qui devrait dans les conditions normales,être poursuivi en justice par les parents d’élèves victimes de sa forfaiture. Mais hélas en Guinée, comme pour paraphraser un certain Elhadj Boubacar Biro Diallo : « Quand le bras faillit, on en punit la tête. »
Autre chose qu’une certaine presse évoque, c’est bien une prétendue surfacturation des examens de fin d’année que le chef de l’Etat aurait imputé au ministre Ibrahima Kourouma. Rien de plus faux.
Le Président Alpha Condé a déclaré au siège de son parti, le 28 mai dernier, qu’il a économisé 40 milliards de francs sur le budget des examens. Cette presse (à ne pas confondre avec celle professionnelle que nous respectons) tronque les propos présidentiels, en soutenant que celui-ci a accusé le ministre Kourouma d’avoir surfacturé. Or économiser ne signifie ni surfacturer, ni détourner. A moins qu’on veuille chercher des poux sur un crâne nu.
Dans un contexte d’austérité économique due à l’Ebola, une réduction de budget, fut-il à l’éducation, doit-elle surprendre ?
En tout état de cause, la Cellule de communication du ministère de l’Enseignement Pré-Universitaire et de l’alphabétisation rassure l’opinion nationale et internationalede l’engagement du ministre Kourouma et de son département dans l’atteinte de tous leurs objectifs, malgré les actions négatives auxquelles recourent les détracteurs et les ennemis de l’Ecole guinéenne en plein essor.
Enfin, fidèle à sa mission de veille, notre cellule rassure qu’en cette période cruciale des examens, elle ne laissera passer aucune manœuvre de sabotage de ces évaluations. C’est pourquoi, elle entend recourir à ses droits de réplique par voie de presse, ainsi que de poursuite judiciaire d’éventuels contrevenants.
La Cellule de Communication du ministère de l’Enseignement Pré-Universitaire et de l’Alphabétisation