Dansa Kourouma fait ses études pré-universitaires à Faranah notamment à l’école primaire Alpha Yaya Diallo de Faranah de 1984 en 1990, le collège de Faranah entre 1990 et 1994 et au lycée Gamal Abdel Nasser de Faranah de 1994 à 1997.
Après le bac, il rejoint la capital Conakry pour des études de médecine à l’université Gamal Abdel Nasser de Conakry de 1998 en 2004 d’où il est doctorant en médecine.
De 2007 en 2009, il fait une licence professionnelle en gestion des programmes et projets de l’institut professionnel de formation en gestion de Conakry.
Puis de 2009 en 2013, il devient diplômé en expertise médicale en réparation juridique du dommage corporel de l’université Cheikh-Anta-Diop de Dakar.
Depuis 2018, il est chargé de cours en master gouvernance et élections à l’Université Cheick Modibo Diarra.
Parcours professionnel
Il est Président de la plateforme citoyenne de surveillance des élections en Guinée (Regard du peuple RdP) et président du conseil national des organisations de la société civile guinéenne en abréger CNOSCG depuis 2014[5].
Dansa est le directeur exécutif de l’observatoire de gouvernance et de la redevabilité (OCGR)[6], cumulativement président par intérim du forum de la société civile de la CEDEAO[7],[8].
Il est élu en 2017 à Accra, vice-président du réseau ouest africain de surveillance électorale (WAEON-Ghana)[9] et en 2019 à Lomé, vice-président du réseau panafricain sur la lutte contre la prolifération des armes en Afrique (REPPA).
Lors du double scrutin du 22 mars 2020, il est le coordinateur général de la plate-forme nationale de surveillance électorale (REGARD du Peuple).
D’octobre à novembre 2018, il est membre du groupe d’experts national pour la relecture du code électoral et président du comité de suivi des recommandations de Kindia sur les réformes électorales.
Depuis 2016, il est membre du conseil national de la statistique, en 2015, il est le président de la plate-forme de surveillance électorale « Regard citoyen » une coalition qui a observer les élections présidentielles de 2015 en Guinée.
De 2010 en 2014, il est membre du parlement transitoire en tant que troisième secrétaire exécutif et porte-parole du conseil national de la transition de la Guinée (CNT).
Après le coup d’état du 5 septembre 2021, le CNRD met en place le conseil national de la transition de Guinéefin 2021 dont il devient le président le 22 janvier 2022.
