1 AHMED SEKOU TOURE a vécu à sandervalia kaloum chez le vieux…. Il y fut conduit par sa famille malinke. Sa Chambrette y était et devrait y être encore. De lui les malinkes disaient « Le président des soussous ». De son « parler malinke », les malinkes en riaient à cause de son fort accent sankaran-kouranko. Les soussous en faisaient autant à cause toujours du même accent. On se souvient de son « Gbaki gbaki, mounse gbaki? » Il adorait entendre les journalistes des langues nationales, notamment ceux du soussou. ANECFOTE « Obiri a kolon sekou toure na ti ki mou yare ma » dixit un journaliste de locution loghomakoui voulant parler soussou par amour pour AST.
2. LANSANA CONTE : soussou; il a bénéficié d’un retour normal de l’ascenseur de l’histoire. En 1984, l’armée comptait 04 colonels, dont 03 malinkes et 01 soussou; 02 généraux, tous malinkes; près des 2/3 des capitaines étaient malinkes; le même pourcentage est avancé pour les Commandants; 45% des soldats étaient malinkes. ( Voir pamphlet de mon ami feu Kaly Bah y afférent). On disait de lui : »Le soussou des malinkes » . Plus tard Sory Doumbouya de Kouroussa sera appelé « Sory Bangoura » ou « Le malinke des soussous ».
3. DADIS : « chassé » par son parent pourtant fortuné, il fut pris en charge par un soussou de Taouyah- ratoma qui tirait le diable par la queue- Peu importe l’issue de l’hospitalité.
4.SEKOUBA KONATE est un.enfant de boulbinet kaloum; il y a grandi aussi et en a l’éducation dont les gestes oratoires et l’esprit guerrier (« El tigre »).
5. ALPHA CONDE : enfant de kaloum, a fait sa Primaire à l' »Ecole du centre »- kaloum; parle mieux le soussou que le malinke, il le reconnait d’ailleurs dans ses 2eme et 3eme.livres.
6. DOUMBOUYA -: a pris son départ le 05 septembre, au petit matin, de Forecariah, une des plus célèbres et respectées préfectures de notre beau pays. « Pour aller à la mort ». C’est aussi une préfecture « génitrice » de PM. Toute l’opération se déroula sur le territoire de Kaloum avec la probable protection de Gbassikolo, qui aurait sauvé, en son temps, Dadis d’une mort certaine. Pourquoi? Il s’était publiquement confié à lui. On se souvient de son « Gbassikolo, je me confie à toi » lancé à Boulbinet au milieu de boulbinet-ka conquis. Que serait advenu du président élu si l’opération « Pour aller à la mort » du 5 septembre s’était déroulée en dehors de Kaloum, loin de Gbassikolo?
7. XXX Qui?? Suivant cette cosmogonie exposée ci-dessus, tout porte à croire que lui ou elle aura un lien biologique et/ou culturel avec notre belle basse côte. Forcément
Bon à savoir tout ça…dans la conquête du.pouvoir politique dans notre beau pays.
Facely 2 Mara