Après une sortie médiatique et sociale ratée contre le Président de l’institution législative de la Transition (CNT), Dr Dansa Kourouma dans un farfelu dossier de bitumage de route, à un coût de 15 milliards Gnf par des cellules dormantes du FNDC avec à la clé, un démenti cinglant d’une presse crédible, la cabale politique des membres dudit mouvement continue avec pour objectif affiché, de déstabiliser l’équipe dirigeante du CNT. Si dans ce dossier sordide, ils ont accusé le locataire du perchoir du Parlement de la Transition d’avoir entamer des travaux de bitumage de la route menant à son domicile privé à un coût rébarbatif de 15 milliards Gnf, une accusation rocambolesque balayée du revers de la main par des journalistes réputés, c’est un autre dossier incongru de prétendu détournement de 166 millions Gnf qui vient d’être porté contre le Secrétaire parlementaire, M. Mory Dounoh.
En effet, en dépit des recommandations de la deuxième assemblée générale souveraine de l’ONG, CPDH après le report de la première tenue le 18 Juin 2022 pour faute de quorum à laquelle d’ailleurs les accusateurs ont été dûment invités, avec accusé de réception et non pas eu le courage de venir soutenir les allégations portées contre l’homme devant la plénière, relatives à la gestion du projet » réduisons le nombre de détenus dans les prisons de Guinée » financé par Osiwa, tenue en date du 16 juillet dernier, les sieurs Saikou Yaya Diallo et Moussa N’Diaye persistent et signent que le combat contre l’intégrité morale du Conseiller national, Mory Dounoh se poursuivra à travers la presse et les réseaux sociaux.
Selon le procès- verbal de cette 2e Assemblée générale, élu à la Présidence du Conseil d’Administration de ladite ONG le 15 mai 2021, M. Dounoh n’a pu avoir la délégation de signature que le 15 juin 2022. Depuis, il n’a ordonné que le décaissement d’un montant de 26 millions Gnf destiné au paiement de l’assistance judiciaire en faveur d’une avocate et le processus de finalisation de la mise en place du siteweb de l’ONG activités entreprise et planifiée par le Sieur Saikou Yaya coordinateur et président du Conseil d’administration sortant qui, était d’ailleurs le dernier signataire des comptes de l’ONG jusqu’au mois d’Avril 2022.
A l’analyse du PV de cette Assemblée générale, il ressort que le sieur Saikou Yaya Diallo, même etant pensionnaire de la Maison centrale de Conakry pour troubles à l’ordre public, était l’un des signataires des chèques. Puis, aux dires de certains membres de l’ONG, quand on audite les relevés bancaires du 15 avril 2021 au 15 mai 2022 de ladite organisation de défende des droits de l’homme, c’est plutôt au sieur Saikou Yaya Diallo de rendre des comptes de sa gestion dudit projet depuis décembre 2019 à Avril 2022. Et d’ailleurs, l’Assemblée générale tirant les conséquences de droit, aura donné la latitude au PCA d’engager des poursuites judiciaires contre M. Saikou Yaya Diallo et Cie pour diffamation et calomnie. Interrogé sur ces allégations portées contre lui, le mis en cause n’a pas souhaité y réagir. Selon lui, ce qui le préoccupe aujourd’hui, est le travail pour le pays qu’il est en train de faire au sein du CNT.Est-ce le revers de la médaille? Le retour du bâton de pêche? Pour qui donc, sonne le glas? Pourquoi de tels agissements contre Dr Dansa Kourouma et ses proches notamment M. Dounoh dont les compétences, l’intégrité et le sérieux sont connus de tous ? Est-ce une cabale politique visant à déstabiliser l’équipe dirigeante du navire CNT? Ou n’a-t-on simplement pas encore digérè la pilule pour briguer le perchoir de l’institution parlementaire de la Transition.
À qui d’autres le tour ?
Pour toutes ces interrogations et tant d’autres, nous y