A la suite de la sortie du président du conseil national de la transition, devant la commission politique du parlement de la francophonie les réactions s’enchaînent.
Selon Bella Kamano Dr. Dansa est un patriote qui a défendu la Guinée lors de son passage devant la commission politique du parlement de la francophonie.
« Je crois que les guinéens sauront récompenser un jour Dr. Dansa Kourouma. C’est un patriote dans l’âme qui ne recule devant rien lorsqu’il s’agit de défendre les intérêts du pays de ses ancêtres. La preuve de son patriotisme est justifiée par la grâce d’Allah qui l’a toujours placé aux commandes à chaque fois que la Guinée se voit contrainte de se remettre en cause.
Depuis qu’il est à la tête du CNT où il a réussi à crée une équipe de patriotes, il est entièrement dans l’exercice de sa mission dont la diplomatie parlementaire.
Son passage devant la commission politique du parlement de la Francophonie est très illustratif. On ne le dira jamais assez, il a défendu la Guinée à travers un discours sincère qui reflète les réalités actuelles. Cet exercice s’inscrit dans une diplomatie parlementaire qui vise à mobiliser la communauté internationale à accompagner la transition guinéenne, donc, ses compatriotes », explique le journaliste et homme politique.
Bella kamano, journaliste et homme politique crois que, Dr. Dansa Kourouma n’est pas opposé à l’organisation des élections.
Pour lui, ses propos doivent être analysés en prenant en compte plusieurs paramètres.
« Parlant du discours, qui restera gravé dans les annales de l’histoire, pour l’analyser objectivement afin de le comprendre, il faut prendre en compte tous les paramètres contextuels. Le passé, le présent, le lieu, le niveau de perception des interlocuteurs et le but recherché en lien avec les secteurs de la vie nationale. Le tout emballé dans une transition qui doit chuter sur des élections.
Or, une élection est comme un match de football. A quoi ça sert d’organiser un match lorsque le gagnant est connu d’avance. Au tant épargner les équipes du gaspillage d’énergie. En plus du coût très cher des élections sans alternance réelle, elles apportent peu au développement des pays comme la Guinée.Si les élections reposaient sur l’alternance réelle, elles auraient été un facteur développement auquel chacun aspire. Pire,elles entraînent des morts. C’est un constat qui saute aux yeux ! Dr. Dansa veut des élections qui favorisent l’alternance dans la paix. Pour les réussir, il faut des garanties institutionnelles ». Fait remarquer Bella Kamano